Ces derniers mois, je me suis essayé à l’écriture de haïkus. Tu sais, ces petits poèmes d’à peine 17 syllabes.

J’ai écrit mon premier haïku en juin 2019.

Au début, peu m’importait les mots et le sujet, du moment que je respectais la fameuse contrainte du 5, 7, 5 syllabes. J’avais plus l’intention de simplement me plier à un exercice littéraire que de faire de la poésie.

Et c’est toujours un peu le cas, mais peu à peu j’essaye tout de même, ou j’essayerai, si je n’y parviens pas encore, de donner un ton poétique à mes haïkus.

Peu après, j’ai également découvert le tanka. Le tanka est un proche parent du haïku. Il s’agit d’augmenter un haïku de deux vers de sept syllabes.

Pour moi, le tanka est donc un haïku avec du ventre, un haïku avec un petit bedon, un haïku qui a trop mangé et trop bu, un haïku bavard, qui a quelque chose à dire en plus.

C’est pourquoi je ne vais pas dissocier mes tankas de mes haïkus. Je vais vous les faire découvrir ensemble.

Car, oui, c’est décidé : je vais partager sur ce blog mes haïkus et mes tankas. Après tout, c’est ce que j’écris en ce moment. Alors, certes, c’est une écriture minimaliste, économe, ce ne sont que quelques maigres mots, mais ce sont des écrits tout de même.

Bonne lecture et n’hésite pas à laisser des commentaires.

Quand tu trouves l’un de mes haïkus ou tankas vraiment bien, dis-le-moi.

Quand tu trouves l’un de mes haïkus ou tankas pas terrible, dis-le moi aussi, sans détour, avec tes mots.

Peut-être m’aideras-tu ainsi à composer un recueil des meilleurs au fil des mois.

Merci par avance et bonne lecture !

Hervé

P.S. : Pour plus de facilité à pointer du doigt les moins bons ou au contraire m’indiquer tes préférés,  je vais les numéroter.

Voici ci-dessous mes premiers haïkus et tankas, je les livre par dizaines :